Revue de presse du mois de Mars 2009 sur Laxou-Maxéville

Sommaire

01 - Maxéville - De l'art du bouquet rond (1 mars)

1artVéronique Mangin, fleuriste, a animé, jeudi soir, à la MJC, le second rendez-vous de l'atelier floral, le premier ayant eu lieu peu de temps avant Noël et consistant en la réalisation de divers centres de table. Cette fois-ci, deux habituées, Anne et Bernadette sont revenues, enthousiasmées par leur premier essai de Noël, ainsi qu'Hélène, qui avait manqué le premier atelier, mais ne manquera pour sûr pas les suivants.

"C'est un bon horaire, pour moi qui travaille jusqu'à 17h, c'est parfait", confiat-elle. Pour ces dames, il était question de bouquets ronds, à élaborer avec plusieurs fleurs de printemps aux couleurs gaies. Du jaune pour les jonquilles, les roses et les tulipes; du orange pour les gerberas, du fuschia et du violet pour les anémones. Sans compter les petites fleurs blanches du wax, de la gypsophile, et les nombreux feuillages ou brancheages glanés en forêt par Véronique, qui ont tous servi.

Véronique qui a bien expliqué la technique du bouquet rond, pas facile à tenir, et les apprenties fleuristes ont pu s'entrîner à cette technique sous l'oeil avisé du maître. "L'important est que le bouquet soit bien proportionné, et que les fleurs trouvent leur place." Elle ajoute "le lien doit être fait au niveau du faisceau, c'est-à-dire l'endoirt où l'on a tenu le bouquet tout au long de sa réalisation.

02 - Laxou - Un invité inattendu dans la cour de maternelle

1inviteDrôle de surprise pour les enfants de la maternelle Emile-Zola en arrivant dans la cour de l'école, hier matin. Un renard était venu trouver refuge en plein centre-ville. La police municipale appelée est intervenue pour capturer l'animal qui ne s'est pas rendu facilement sous les yeux émerveillés des enfants. A l'aide de leur perche de capture, les policiers ont réussi à neutraliser l'animal dans un premier temps, puis celui-ci, blessé à la patte, a réussi à s'échapper.

Il s'est réfugié près du local chaufferie de l'école. Les policiers ont alors fait appel aux pompiers de Vandoeuvre qui ont réussi à le capturer avec un filet. L'animal sera relâché dans la forêt par les pompiers. Les enfants ont eu droit à un spectacle inoubliable.

03 - Maxéville - Les schtroumpfs au carnaval de Ramstein (2 mars)

2schtroupfsJournée détente à Ramstein-Miesenbach, ville jumelée avec la commune, pour le carnaval avec le char de Maxéville. La veille, Serge El founi, adjoint au maire, Jean-Paul Garneau, du comité de jumelage, avaient, avec un camion de la municipalité, tracté le char, via les routes nationnales et départementales, afin de rallier l'Allemagne. Le char, réalisé sur le thème des schtroumpfs, avait défilé dans les rues lors de la Saint-Nicolas. Outre-Rhin, le cortège regroupait environ 1.800 personnes et une centaine de thèmes différents. Ramstein et Miesenbach ont chacun leur société carnavalesque et leur couple princier. Pour Jean-luc Tritz, président du comité de jumelage, cette journée a été exceptionnelle, notamment parce que deux bus ont été affrétés au départ de Maxéville: celui des adhérents du comité et celui de J.-B-Thiéry, soit une centaine de personnes.

2schtroumpfs2C'était un grand jour pour les enfants handicapés qui ont participé au défilé. De chaque côté du char, des personnes du comité assuraient la sécurité évitant que les jeunes spectateurs ne se jettent sous les roues pour ramasser les bonbons distribués sur le parcours. Auparavant, la délégation maxévilloise avait été reçue par la maire, Klaus Layes, dans la salle réservée aux seniors. L'occasion de déguster des beignets de carnaval et des bretzels ainsi que le sekt (champagne allemand).

En fin d'après-midi tout le monde s'est retrouvé à la salle des fêtes de la ville pour danser. Mireille Gazin représentant le maire de Maxéville, et M.Tritz ont été décorés par le couple princier comme le veut la tradition. Certains avaient effectué quelques emplettes dnas les boutiques avant le retour. De quoi conserver encore plus de souvenirs de cette belle et agréable journée.

04 - Laxou - Le confort du bois du Québec

2confortC'est avec grand intérêt et surprise que les membres de l'association LQE (association lorraine qualité environnementale) ont découvert, au coeur de Laxou, une extension construite selon la technique de l'ossature bois type plateforme, montée à la place d'un simple garage à voiture. Ils étaient environ une trentaine à écouter ce nouvel entrepreneur innovant, Philippe Petitdemange, installé à Vilelrs, spécialisé dans la construction en bois d'extension de maisons selon une technique rapide, fiable issue des techniques de construcion du Québec.

Le chantier est dans sa phase finale: la réalisation d'un manteau à base de fibres de bois et recouvert d'un enduit respirant. Cette construction fait des heureux tant au niveaux des propriétaires qui vont jouir de sensation de confort et de bien-être qu'au niveau consommation d'énergie de chauffage car grâce au procédé d'isolation renforcée de ce constructeur cette maison pourrait être classé BBC (bâtiment basse consommation) et des heureux au niveau des compagnons qui ont réalisé cette oeuvre et en sont fiers! Devant le succès rencontré, l'entreprise recrute. Contact : p.petitdemange@revedebois.com

05 - Laxou - Frou Frou les bains à Pergaud

2frouDans le cadre des jeudis de Pergaud organisés par la ville de Laxou, la pièce de théâtre présentée comme chaque mois dans le quartier du village a fait salle comble pour la représentation de "Frou Frou les bains". "C'est une parodie d'opérette décalée" explique le président de la compagnie nancéienne Le Théâtre d'Egulfe, Dominique Jaquet "ce n'est pas une troupe sclérosée, nous avons un répertoire burlesque et parodique" ajoute-t-il.

Ecrite par Patrick haudecoeur, cette comédie burlesque relate l'histoire d'une station thermale "Frou Frou les bains" dont le directeur et le personnel s'apprêtent à recevoir les premiers curistes de la saison mais un incident technique va tout contrarier. Sur des airs 2froud'opérettes, les huits acteurs et le pianiste ont captivé les spectateurs à travers des intrigues et des quiproquos sentimentaux. "Nous avons dû nous mettre au chant, cela nous a demandé un travail important, un challenge" précise Virginie, membre de la troupe, avant de jouer la 20e représentation. Entre les chants et les dialogues déjantés, la pièce n'a pas manqué de rebondissement faisant surgir des rires dans la salle. "C'était très bien, enlevé et gai. Cela permet d'oublier tout le reste comme les soucis" confie Christiane, ravie de la soirée.

06 - Laxou - Spectacle en gare de Pergaud (4 mars)

4spectacleLa troupe laxovienne Pièces détachées a présenté, salle Pergaud sa pièce intitulée "Un siècle à fond de train". Plus qu'une représentation, il s'agissait là d'un voyage théâtral en six stations. "Le train part de Nancy pour y arriver à Paris 1h avant le bug de l'an 2000. A chaque fois qu'il s'arrête, il revisite une époque, des dates importantes telles que 1918, 1936 ou 1945", explique le metteur en scène, farid Haoudy. Les treizes comédiens se sont succédé sur scène, accompagnés ponctuellement par deux musiciens. "La troupe existe depuis 11 ans mais c'est la première fois que nous réalisons entièrement une pièce. Nous avons mis 2 ans à le faire : atelier écriture pendant un an et mise en scène la seconde année. Chacun de nous a fait quelque chose", ajoute Farid sans omettre de parler du travail effectué au niveau des costumes, du aquillage et des décors. La troupe, qui répète 4spectaclehabituellement salle Haussmann, a su relever le challenge et offrir aux spectateurs unspectacle réussi à travers six piècettes. A l'issue de la représentation, le président de Pièces détachées a remis la première affiche de la pièce au maire, Laurent Garcia, en remerciement de l'aide apportée par la ville. La compagnie, qui précise être toujours à la recherche de nouveaux comédiens, présentera cette même pièce le samedi 21 mars à l'Espace Europe dans le quartier des Provinces. Informations : www.piecesdetachees.free.fr

07 - Champs-le-Boeuf - Rénovation urbaine au Champ-le-Boeuf

Le maire, Laurent Garcia, et son adjoint à la cohésion sociale et contrat de ville, Yves Pinon, ont invité les habitants du Champ-le-Boeuf, secteur Moselotte, à une réunion de proximité organisée avec les architectes, les bailleurs et la communauté urbaine. Jean-Paul Cruciani, directeur général de MMH, était également présent, ainsi que Catherine Fernandes, conseillère municipale déléguée. La stratégie de Rénovation urbaine proposée dès 2004 par le Grand Nancy, les communes de Nancy, Laxou et Maxéville, l'OPAC de Nancy et Meurthe-et-Moselle Habita s'intègre dans un processus de reconquête et d'intégration du plateau de Haye. Le but consiste à enclencher un véritable changement d'image améliorant les conditios de vies et d'habitat pour ses résidents.

4renovationLa rénovation urbaine, ce sont des abords d'immeubles embellis, des espaces verts sous forme d'esplanades plantées de haies...de nouveaux cheminements en pavé crées entre les lieux d'habitat...un éclairage public renforcé aux abords d'immeubles, de nouvelles plantations d'arbres le long des chaussées de circulation et de stationnement, etc. Après une première renconter, les habitants invités à la réunion publique qui a suivi au CILM, n'ont pas manqué de poser de nombreuses questions.

Une habitante s'inquiète de la suppression de quelques garages rue de la Moselotte. Les architectes qui veulent dégager une esplanade entre les immeubles et le parc d'agrément ont proposé de déplacer des boxes. Laurent Garcia a précisé que le nombre de boxes serait conservé. Les échanges les plus vifs ont concerné la resditribution du stationnement qui ferait perdre quelques places. Le maire et son adjoint ont rejoint les habitants sur le fait qu'ils ne doivent pas perdre de places de stationnement, invitant les architectes à plancher sur cette demande. Les participants ont profité de cette réunion poursignaler à la communauté urbaine, aux architectes ou aux bailleurs certaines malfaçons, comme la qualité des travaux sur les parkings inondés à la moindre pluie, le manque de visibilité à la sortie du parking...

Ils ont aussi demandé la suppression de certains espaces verts réalisés au détriment du stationnement, le déplacement des arbres plantés devant la façade qui masque la lumière du jour. Ils ont dénoncé des nuisances avec les dégradations de l'entrée du 10 Moselotte, dès le lendemain des travaux et demandé le passage de patrouilles plus fréquent. Sur ce point, le maire a donné le numéro du portbale qui permet de joindre la patrouille de police municipale lorsqu'elle est en service, parfois de nuit : 06.24.90.03.38.

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MMH a annoncé la création d'un poste de gardien d'immeubles. Le problème de l'accès payant aux chaînes de la TNT a été évoqué. Le bailleur a déclaré être tenu par une concession avec numéricable qui se termine en 2013, mais que des négociations étaient en cours. Enfin, des habitants ont profité de la présence des reponsables du bailleur pour évoquer des cas particuliers sur leur logement. A leur grand soulagement, le bailleur a précisé que ces travaux de réhabilitation n'entraîneraient aucune augmentation de loyer. En conclusion, Laurent Garcia a rappelé, comme l'équipe municipale s'y était engagée, qu'il y aurait des réunions-point d'étape régulières, afin d'écouter les habitants pour améliorer certains points de ce grand chantier qu'est la Rénovation urbaine.

08- Champ-le-Boeuf - La violence sous toutes ses formes

"la violence existe, même si ce n'est pas tous les jours, même si ce n'est pas grave", c'est le mot d'enfant relevé par Clément Martin, animateur à ESAF54 lors de ses recherches, et qu'il a présenté en introduction du petit-déjeuner solidaire sur le thème de la violence dans les familles qui s'est tenu au CILM et auquel ont répondu de nombreux invités. Abdallah Benhemine, psychologue clinicien, Mme Colin de l'association ANNE (Association nancéienne pour un nouvel Espace social), bernadette Mace du café des parents de Metz, Corinne Matuzeski de l'association Arc-en-ciel de Vandoeuvre et Thérèse Rivière, représentante de l'association UNAFAM (Union nationale des amis et familles de malades psychiatriques) sont venus témoigner.

4violenceLaurent Garcia était également présent, comme des bénévoles d'ESAF54, des adhérents ainsi que des apprenants de l'associations, qui ont aussi débattu sur le sujet. Les intervenants, qui côtoient tous les jours la violence, ont essayé de la définir, chacun avec sa propre expérience. Ils ont tous convenu que la violence était caractéristique des "gens qui n'arrivents pas à communiquer et qui tentent de prendre le dessus sur l'autre en cherchant ses faiblesses".

L'agresseur se met aors dans une situation de toute puissance. Cette violence peut alors prendre plusieurs formes: la violence verbale et la violence physique sont les plus courantes, mais il en existe beaucoup d'autres, comme la violence morale, financière, sociale ou environnementale. La violence survient souvent à l'adolescence et il est très difficile à ce moment de la vie d'un jeune adulte, de faire la part des choses entre le comportement "normal" de rebellion d'un adolescent et la maladie qui survient. Cette violence n'épargne également aucun mileu, on la retrouve même dans les milieux les plus huppés. Les intervenants ont même rematé certains cas de petits-enfants violentant leurs grands-parents en leur demandant de l'argent. "Les grands_parents ne portent pas plainte: ce sont leurs petits-enfants !" Mais ils se retrouvent parfois dans les situations financières difficiles et ne savent plus quoi faire. La victime se fait rarement entendre, car elle a honte, elle a une culpabilité inconsciente qui lui fait penser que c'est sa faute.

Dans ce cas, la meilleure solution est d'amener une tierce personne dans le conflit, afin qu'elle casse la relation perverse qui est établie. C'est le rôle de toutes associations présentes, qui essaient de régler les conflits en confrontant violenteur et violenté.

09- Laxou - Bienvenue au tabac-presse des Provinces (5 mars)

5tabacEnfin la réouverture est proche ! Le tabac presse et jeux de la galerie commerciale des Provinces, sinistré il y a juste un an, est en plein chantier. Fermé suite à un incendie le 22 amrs de l'an dernier, Dominique et Corinne Rousselot vont pouvoir accueillir leur clientèle dès le lundi 9 mars, à 5h30 du matin. Les entreprises s'effairent pour que tout soit terminé avant ce week-end.

Bernard, Yvon et Mouss s'occupent de la rénovation du site pendant que Jérôme, Guillaume et Stéphane de LPM Promodern s'affairent à installer les rayonnages selon une disposition pré-établie. Gérad et Cyril installent le nouveau comptoir de la Française des Jeux et tout fonctionnera quand Fabien, l'électricien, aura terminé tous ces branchements. La boulangère de la galerie commercial qui a assuré l'interim pour la diffusion du journal, continuera comme par le passé à assurer sa diffusion le dimanche, jour de fermeture du tabac-presse. Situé en façade du centre commercial, juste devant le parking du marché, le magasin tout neuf, avec sa nouvelle enseigne "Mag Press", donne déjà une autre image des lieux.

10 - Maxéville - Colin Frères au secours des Landes

5colinLa tempête "Klauss", qui vient de ravager 60 % des forêts landaises, a marqué les esprits jusqu'en Lorraine. Notamment les membres de la filière bois, à l'instar de l'imprimerie Colin Frères installée sur la zone Saint-jacques. En tant que membre du groupement ImpriFrance premier groupement d'imprimeurs français. En effet Colin Frères participe activement pendant deux mois à une grande action citoyenne et solidaire. Les quarante-huit imprimeurs du groupement ImpriFrance se mobilisent avec l'ONF pour la restauration de la forêt landaise. A ce titre Colin Frères se mobilise et lance une campagne de sensabilisation. Les imprimeurs du groupe ont déjà versé une somme de 20.000 € mais désormais l'opération "Ensemble pour la forêt landaise" s'adresse à leurs clients.

Pour Gilles Colin, directeur commercial: "En tant qu'imprimeurs éco-citoyens nous ne pouvions que réagir car nous sommes déjà engagés dans les démarches soucieuses du respect de l'environnement et de développement durable. Nous luttons contre conter les idées reçues qui laissent penser que l'industrie du papier participe à la déforestation. C'est totalement faux. Nous incitons nos clients à imprimer leurs courriers électroniques...L'imprimerie n'est en aucun cas responsable de la déforestation. Nous somme certifiés PEFC (quelques-uns sont certifiés FSC). Le bois utilisé pour la fabrication du papier provient en grande partie des coupes indispensables au bon développement des forêts et le recyclage", présise-t-il. Depuis le 2 mars, et ce jusqu'au 30 avril, les clients sont sollicités via les factures et les devis à verser un supplément de 2 € pour aider le reboisement de la forêt landaise.

Sachant que le panier moyen est de 1.500 à 1.700 € cela ne devait pas poser trop de problèmes. Gilles Colin espère reverser une somme rondelette à l'ONF. En octobre, grâce à cette action de solidarité, l'ONF pourra replanter une forêt communale dans les landes. Des diplômes seront remis à chaque participants. Une démarche qui, au bout du compte, participe à améliorer l'image des imprimeurs. Selon Gilles Colin: "On retrouve au sein d'ImpriFrance l'état d'esprit de la profession il y a 15 à 20 ans. A l'image des formations qui facilitent les échanges de bonnes pratiques entre nos imprimeries indépendantes". En tout cas voilà une belle opération marketing.

11 - Laxou - la vie de Louis Bonaparte (6 mars)

6bonaparteLa conférence, organisée à l'hôtel Ariane, par le souvenir napoléonien avait pour thème "Louis Bonaparte, le père du Neveu" et était animé par Patrick Karczewski, membre du comité directeur de l'association. Le conférencier a relaté l'histoire de Louis Bonaparte, né le 2 septembre 1778 à Ajaccio, fils de Charles Bonaparte et de Maria Létizia Ramolino. En 1978, il part à l'école de Châlons et participe à la campagne d'Italie où il devient sous-lieutenant. En 1802, il est marié, contre son gré, à Hortense, la fille de Joséphine de Beauharnais. Il est fait Grand Connétable à la création de l'Empire. En 1805, devenu général, à la tête de l'armée du Nord, il occupe la république Batave et quitte ce pays dès la paix revenue, ce qui lui vaut l'estime des Hollandais.

En 1806, pour assurer son front nord, Napoléon Ier le met sur le trône de Hollande. Son illustre frère lui propose le trône d'Espagne en 1808, il le refuse. En 1809, il doit céder à la France le sud de le Hollande, mais les "troupes françaises de surveillance" étendant leur contrôle sur tout l'ouest du pays, Louis abdique et la Hollande est annexée à la France. Sous le titre de Comte de Saint-Leu, il se retire à Graz en Autriche, se passionne pour la littérature et écrit plusieurs ouvrages. Louis meurt à Livourne en 1846 d'une congestion cérébrale et, en 1847, son corps est ramené à Saint-Leu-la-Forêt, où il repose entre son père et les deux frères de napoléon III jusqu'en 1951, année du transfert à Ajaccio.

Malgré son règne court de 4 ans, Louis s'est montré un grand réformateur: il a organisé l'administration, crée dix départements, adopté le code civil, proclamé l'égalité religieuse. C'est pourquoi ce prince, malgré ses despendieux désirs de grandeur, est encore aujourd'hui admiré et aimé par ce peuple de Hollande dont il fut le premier roi, alors qu'il est oublié des français.

12 - Maxéville - Le théâtre, outil de prévention déguisé

Bienvenue au théâtre, outil de prévention déguisé. Une gamine jouant la psychologue, un collègien incarnant une assistante sociale qui se renseigne sur le comportement d'un enfant... Ce jour-là, 174 collégiens assistaient à une mise en scène inédite de la violence. "C'est n'est pas très éloigné de la réalité. J'ai déjà été confronté à des actes de violence. Ca m'intéressait de monter sur scène pour intervenir, je pense que j'ai appris des choses", glissait Kévin, au collège Alfred-Mézières à la sortie du centre intercommunale. En tout cas, rires et répliques ont fusé durant le spectacle mais, au bout du compte, les jeunes ont participé avec beaucoup d'intérêt à la grande joie des organisateurs, Georges Mayeur en tête, l'adjoint aux affaires scolaires. La pièce s'intitulait "Un poing, c'est tout". La violence est multiple: familiale, physique, conjugale, verbale, psychologie, urbaine... Les jeunes, c'est un sujet qu'ils connaissent bien car souvent plus exposés et fragiles. En parler avec eux très tôt, c'est sans doute le meilleur moyen de prévenir cette violence qui les entoure.

C'est pour cette raison que la ville de Maxéville a invité trois collèges, des classes de 5e et 6e jean-Lamour, Alfred-Mézières et Lafontaine, à assister à la représentation d'une pièce de théâtre intéractive sur le thème de la violence. Il s'agit pour des comédiens professionnels de mettre le support ludique du théâtre au service d'une prise de conscience vriae des problèmes de sociétés tels que la violence, le racisme... Les acteurs de la compagnie parisienne du Théâtre du Chaos ont présenté des saynettes sur diverses formes de violence (racket à l'école, resquilleur dans le bus, violence à la maison...). Les scènes reflètent le vécu du public et les acteurs s'expriment simplement; le but étant de susciter des réactions immmédiates parmi les jeunes désireux de se positionner. Invités à monter sur scène, les collégiens deviennent acteurs de leurs propres suggestions. "La violence, c'est un sujet original qui interpelle les jeunes mais ensuite, nous allons rebondir sur la sansté le thème central de notre projet", soulignait Véronique Thiébaut de la mairie, coordinatrice de ce projet santé soutenu par le contrat urbain de cohésion (CUCS) dans le cadre du projet éducatif de la ville de Maxéville. "Les professeurs et les élèves prolongeront la réflexion en choisissant parmi nos propositions entre les addictions, l'hygiène corporelle, les relations aux autres, les comportements dépressifs,... Des questionnaires ont été distribués. Ensuite, dans le cadre du dispositif de réussite éducative, la municipalité accompagnera les jeunes rencontrant des difficultés.

13 - Laxou - Une kermesse inter-groupes scolaires (7 mars)

7kermesseDans le cadre de la nouvelle sectorisation scolaire, des parents d'élèves de l'école Victor-Hugo, France Badri, Corinne Beauge et Houria Soltani, ont sollicité un rendez-vous avec le maire, Laurent Garcia, et Nathalie Parent-Heckler, adjointe aux affaires scolaires. Lors de cette rencontre, elles ont expliqué l'objectif de leur démarche: "La rentrée prochaine, des enfants du groupe scolaire Louis-Pasteur seront accueillis dans les locaux du groupe scolaire Victor-Hugo. Il nous semble important que les enfants se familiarisent avec leurs nouvelles salles de classe, les enseignants et leurs nouveaux copains d'école."

Pour ce faire, elles proposent d'organiser, avec le soutien de la municipalité, un après-midi découverte sur site, ainsi que l'accueil des familles lors de la traditionnelle kermesse de l'école qui aura lieu le 26 juin. Les élus ont salué et accueilli favorablement cette initiative car elle répond à une volonté partagée commune: tout mettre en oeuvre afin de répondre aux questions des enfants et de leurs parents, leur proposer la découverte du site avant les travaux de sécurisation et de réhabilitadtion des classes actuellement inocuppées qui auront lieu cet été, et permettre ainsi à tous d'envisager sereinement la rentrée de septembre.

Pour mémoire, en une dizaine d'années, en raison de la baisse de la démographie, Laxou compte 188 élèves de moins dans les groupes scolaires Victor-Hugo,Emile Zola et Louis-Pasteur. Une nouvelle sectorisation a donc été définie, selon le domicile des parents: l'accueil des élèves scolarisés jusqu'alors au sein du groupe Louis-Pasteur se fera sur les deux autres groupes scolaires dès la rentrée 2009-2010. Assurés de l'engagement de la mairie à leurs côtés, les parents d'élèves lancent désormais un appel à toutes les bonnes volontés au sein des écoles pour mener à bien leur projet fédérateur.

14 - Laxou - L'importance de la culture

7cultureLes travailleurs sociaux du centre médico-social, en lien avec l'équipe terroriale d'insertion, services du Conseil général de Meurthe-et-Moselle, ont mis en place le groupe "Accès à la culture", composé d'une quinzaine de Laxoviens. Un après-midi, le groupe s'est retrouvé pour une dégustation de crêpes, préparées par Sakina Roubache. L'occasion aussi de faire le bilan des sorties culturelles déjà effectuées mais aussi de préparer les prochaines sorties.

Ce groupe existe depuis juin 2008 et a déjà participé à la visite du musée des Beaux-Arts, de l'aquarium, du jardin du Montet et des serres, à des séances de cinéma avec l'associaion Khamsa de Vandoeuvre. Récemment, le groupe a assisté à une représentation du Ballet de Lorraine de Nancy. Prochainement, le groupe a choisi de se rendre au Musée de l'Ecole de Nancy, et, en mai, tous assisteront à une représentation du théâtre de la Manufacture. D'autres habitants peuvent rejoindre le groupe. Pour tout renseignement, s'adresser au centre médico-social,3 rue Poincaré à Laxou, tèl. 03.83.27.74.79. Mme Beck.

15 - Maxéville - Destin tragique de l'ancienne église

7destinL'ancienne église, bâtie dans le cimetière actuel, rue de la justice, a été détruite en 1889. Elle a été remplacée par l'église Saint-Martin. Que l'on soit croyant ou non, on ne peut que regretter une telle désion prise par le conseil municipal le 10 août 18889, en vue d'agrandir le cimetière. Cet édifice était, en effet, d'un grand intérêt historique, artistique et culturel. Selon certaines sources, la tour servant de clocher aurait été un reste de l'ancien château de Maxéville. La légende raconte que le seigneur de Maxéville, Adrian des Armoises aurait retenu prisonnier le duc Ferry III dans la tour du château au XIIIe siècle. L'église était à l'époque au milieu des vignes, à l'exterieur du village. La population de ce dernier augmentant, il a fallu l'agrandir par deux fois, et, en particulier, en 1444. Quelques faits remarquables sont à signaler sur cette ancienne église : sur la seconde travée de la nef, les chapiteaux de la forme octogone étaient ornés chacun de deux écussons, l'un vers le nef, l'autre latéral. L'un deux, celui porté face à la nef, était un écusson héraldique - fait insolite en Lorraine - de la maison de Nancy-Lenoncourt : une croix engrêmée. Preuve que les constructeurs de l'féifice appartenaient à cette famille.

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Les restes d'une litre funéraire tracée en relief et peinte de l'extérieur, le long des murs, se trouvaient aussi dans l'église (fait rarissime en Lorraine). Enfin, notons que, parmi les monuments funéraires présentes au sein de l'édifice, le plus ancien datait vraisemblablement de 1519. Il s'agissait d'une tombe, celle de l'écuyer Richard des Armoises. Aujourd'hui, l'observateur remarque que, dans la section n°1 ducimetière, se trouve une tombe qui n'est pas alignée comme les autres. Selon plusieurs sources orales, cette tombe où repose notamment le marquis de Lattiser-Bayanne, mort en 1799, doit son curieux alignement au fait qu'elle était disposée contre le mur de l'ancienne église. D'où l'emplacement possible de l'édifice. On observe également des monuments funéraires encastrés dans le mur d'enceinte, près de l'actuel cimetière militaire.

Ces tombes sont décrites dans le livre de Léon Germain. Certaines datent du XVIIe siècle. Elles prouvent que cette partie du mur appartenait à l'enceinte du cimetière entourant l'ancienne église. Cela pourrait alors, décaler vers le nord son emplacement supposé.

16 - Champ-le-Boeuf - Les belles histoires de La Fontaine

Le colllège La Fontaine a ouvert ses portes au quartier et aux parents, afin de présenter les travaux réalisés par les élèves ainsi que les ambitions et les projets des professeurs et de l'équipe éducative. Mme Durup de Baleine, professeur de français, a étudié, avec ses élèves de 6e, des extraits de la Bible et de textes fondamentaux.

Comme suite logique, et en liaison avec le projet éco-collège, l'enseignante leur a demandé d'écrire leur propre décalogue sur le thème de l'environnement. Les élèves ont dû réfléchir pendant les vacances au support - qui ne devait être une feuille simple - sur le thème : "la planète doit être plus respectée, invente un décalogue pour expliquer à l'homme que faire et ne pas faire."7lafontaine7lafontaine

Manale, de 6e B, par exemple, a recyclé une de ses boîted à chaussures pour inscrire et illustrer ses dix commandements. Un autre élève a écrit chaque commandement sur un élément recyclable (bouteille d'eau, boîte en carton, boîte de conserve), qu'il a reliés entre eux. Les plus réusis étaient exposés au public au détour d'un couloir. Non loin de là, M.Bouvet, professeur de SVT, présentait les réalisations d'une douzaine d'élèves de 6e qui participent, pendant deux heures le vendredi après-midi, au club éco-école. Il s'agit du projet éco-collège, un projet européen qui se déroule sur cinq ans et qui a pour but de réaliser des actions écologiques pour l'environnement. Avec, comme finalité, l'obtention du label éco-collège qu'il faudra ensuite conserver. Tous les ans, un thème est proposé et cette année, il s'agit des déchets.Dilhan, en 6e A, a réalisé, avec ses camarades, des affiches qui seront mises en place dans chaque classe, représentant une grosse tête de clown où les élèves peuvent coller leur chewing-gum, plutôt que de s'en débarrasser sous les tables de classe. Ils ont aussi fabriqué des petites caisses destinées à récupérer les déchets de papier, qu'ils ont évalué à environ 462 kg jetés pour une année scolaire.

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Les élèves sont très motivés, puisqu'ils ont eux-mêmes choisi cet atelier qui entre dans le cadre de l'accompagnement éducatif mis en place au colllège. Dans une autre salle, Mle Pierrucci, professeur de technologie, présentait un diaporama et les panneaux réalisés par ses élèves de 3e ayant choisi l'option DP3, sur lequels ils font partager à leur camarades les résultats del eurs visites en entreprises et du monde du travail. Auriane et Elise, deux élèves de 3e A, étaient très motivés pour faire un stage à Sciences Po Nancy, qu'elles ont effectué du 7 au 18 décembre. C'était une première pour la prestigieuse école, et les deux élèves. Dans la salle de musique, M.Selvanayagon, le professeur, accompagnait la chorale du collège au piano pour montrer aux visiteurs comment se déroule une séance de travail.

17 - Laxou - Jumelage, impôts, école,...

Il n'y avait que huit questions au dernier conseil municipal, toutefois, les débats se sont poursuivis tard dans la soirée. En ouverture de séance, le comité de jumelage a été invité par Anne-Sophie Roy, adjointe aux relations internationales, à prendre la parole pour expliquer aux élus l'utilisation des subventions allouées dans le cadre du jumelage avec la ville d'Andéramboukane. Le président, Albert Pussini, assisté de Nicole Houpert, ont expliqué à l'aide d'un vidéo projecteur, les actions menées depuis près de dix ans dans cette ville du Mali. A la reprise du conseil, le vote de la subvention pour la dernière tranche d'adduction de l'eau à Andéramboukane a été adopté à l'unanimité, tout comme la subvention de fonctionnement au comité social du personnel et la reconduction de l'adhésion à la mission locale du Val de Lorainne et de Laxou, rapporté par Dominique Leca.

La présentation du débat d'orientation budgétaire ne faisant pas l'objet d'un vote a toutefois déclenché une polémique. Dans son rapport, Marcel Fresse, adjoint aux finances, a précisé que le budget 2009 se présente dans un contexte comportant beaucoup d'incertitude au plan économique et social. La politique qui sera menée reposera sur plusieurs éléments clés la mise en oeuvre du programme annoncé, le respect des engagements de stabilité des taux d'impositons locale concernant les ménages, une maîtrise financière accrue comportant un strict contrôle de l'endettement et une gestion renouvelée des moyens de la ville par des procédures d'achats actualisées.

Après une série de chiffres sur les différentes dotations des collectivités prévues à la baisse, il a insisté sur le fait que de nombreuses communes seront amenées à accroître leurs recettes par la fiscalité, mais que la ville de Laxou a fasit le choix d'optimiser sa gestion pour ne pas augmenter le poids de la fiscalité locale. Christophe Gérardot a regretter les transferts de charges de l'Etat vers les collectivités obligeant celles-ci à faire face à des dépenses. Il s'inquiète de la fragilisation des collectivités locales ce qui freine leur autonomie, et ne disposant pas d'esquisse budgétaire sur la dépollution de l'ancienne station service, il a qualifié ce DOB de "trompe l'oeil".

Le maire Laurent Garcia a qualifié, lui, le budget "d'offensif malgré le contexte difficile": pas d'augmentation des taux d'imposition, baisse attendue des dépenses de fonctionnement, saluant au passage les efforts des asgents communaux, maintien de l'investissement, synonyme d'emploi. L'autre sujet qui fait débat, est la nouvelle sectorisation scolaire. Pour Claudine Bardeau, conseillère d'opposition, Zola n'est pas adapté pour recevoir autant d'enfants, elle craint de voir disparaître les cours d'arts plastiques. Elle a participé aux commissions et reconnaît cependant que "la fermeture d'un groupe scolaire est inéluctable", mais la décision serait trop rapide. Nathalie Parent-Heckler, adjointe aux affaires scolaires, a rappelé que certaines compétences sont du ressort de l'éducation nationale, et a rappelé que les bâtiments Hugo et Zola sont aux normes. Enfin, le maire a présenté un tableau avec les effectifs scolaires qui présentent une perte de 188 élèves depuis une dizaine d'années (pour mémoire, le groupe scolaire Pasteur ne compte aujourd'hui qu'une centaine d'élèves).

18 - Maxéville - Rommancière fantastique

L'écriture la taraudait depuis longtemps. A 56 ans, Lucy Fischer termine le troisième opus de sa trilogie. Il s'intitule "Le secret", autant l'annoncer. Le premier volet, "Le quatrième chapitre" est paru aux éditions Le manuscrit, en avril 2007. Une histoire de vampires sur le fantasme de la vie éternelle. La suite de ce méli-mélo d'une famille enfermée sous terre, "La descendance", est sortie en juillet 2008. "J'écris des aventures magiques et des récits fabuleux pour petits et grands. Tout le monde dit que je suis sur ma planète", s'amuse l'artiste qui enchaîne les salons du livre pour se faire connaître et par plaisir. "Pas pour faire du fric", elle n'a pas cette prétention. "C'est difficile de se faire un nom", ajoute Lucy dont les romans ne sont pas encore en vente en librairie. Pour cela il faut attendre que l'éditeur le juge bon. Toutefois cette Maxévilloise est déjà heureuse d'avoir trouvé un éditeur. Fonctionnaire à Nancy, elle trouve dans l'écriture un exutoire. "La vie n'est pas rose tous les jours et cette passion m'habite depuis toute petite quand ma grand-mère me racontait des histoires. A l'école je faisais de même pour amuser mes copines".

Luce, son vrai prénom, souligne aussi que les jeunes lisent beaucoup moins avec tous les jeux vidéos et le mmultimédia alors si elle peut mettre en avant la lecture... Elle a attendu longtemps avant de passer à l'éditon parce que le temps lui manquait et "il fallait franchir le pas". Difficile de conjuguer travail, 3 enfants et 8 petits-enfant. Lucy était au "Grimoire" le salon du livre en marge du Fantasti'Arts de Gérardmer, une excellente tribune. Elle était présente cette année au Livre sur la Place. Son prochain livre sera un policier-fantastique, annonce celle qui reconnaît que ses maîtres sont Victor Hugo et Bram Stoker, "le chantre du surnaturel !".

19 - Laxou - Les tireurs visent Chambéry

8tireurBrigitte Chaufiurnier et Michel Nöel se sont qualifiés aux derniers championnats de Lorraine à Volmerange-les-Mines, pour les championnats de France de tir à 10 m. Ils auront lieu à la fin du mois à Chambéry. Pour participer à cette compétiton, la condition requise est de figurer parmi les 85 meilleurs tireurs français de leur catégorie. Michel est classé 39e sur 254 et Brigitte, encore vice-championne de Lorraine cette année, se classe 48e sur 271. Même s'ils ne sont pas qualifiés pour les championnats de France, les autres tireurs de Laxou ont obtenu des résultats plus qu'honorables au niveau de la France entière.

Classement : Lorène Chaufournier, 192e sur 292; Isabelle Ostermann, 99e sur 271 (3e Lorraine); Hervé Hudziak, 444e sur 924; Thierry Kern, 530 sur 924; Alain Blaise, 665e dur 924; Michel Mougeot, 191e sur 621.

20 - Champ-le-Boeuf - Chantier de travail au Maroc

8marocZéliha Vardal de l'association ESAF54, a rassemblé ses troupes, pour le futur chantier solidaire qui aura lieu au Maroc pendant les vacances d'avril. Parmi les candidats au départ, David, Annabelle, Sophie, Coralie, Rémi ou Marie-Claude. "C'est un groupe assez hétérogène", précise Zéliha, il y a des salariés, des étudiants, une personne retraitée... Il reste d'ailleurs une place, mais elle sera réservée à une personne qui participera à "l'opération ascenseur", mise en place par MMH, où un jeune, étudiant ou habitant le quartier, contre une petite rémunération, propose son aide à une personne âgée pour faire ses courses. Tous les participants n'ont pu venir à cette première réunion, qui avait pour but de se rencontrer et d'échanger sur leur façon de voir le bénévolat et l'action solidaire.

Zéliha avait préparé de quoi les faire réagir par le biais du "photo langage", un petit jeu anodin qui fait délier les langues. Elle souhaite également les sensibiliser sur le prolongement de leur aciton solidaire en France, sur le quartier, au sein de l'association. Le CLID a aussi prêté à l'association une exposition très parlante sur les chantiers solidaires, le bénévolat : partir, oui, mais où ? Comment ? Pourquoi ? Comment continuer son action une fois rentré ? Puis Raim Faiq a renseigné les candidats sur les problèmes de papiers, réservation de billets d'avion et autres questions.

21 - Laxou - La bière, toute une histoire

9biereAffiches anciennes, verres, cendriers... La médiathlèque accueille une expo dédiée à "l'histoire de la bière en Lorraine", réalisée par la Ville et le Musée Français de la Brasserie de Saint-Nicolas de Port. Avec des textes et des photos, elle présente les vieilles et nouvelles brasseries, les reconstructions, l'après-guerre ou encore la fabrication et les matières premières. Les amateurs de bière, sont venus en nombreux au vernissage en présence du maire, Laurent Garcia, de son adjointe à la culture, Anne-Sophie Roy, sans oublier le maire de Saint-Nicolas, Luc Binsinger, et le président fondateur du musée, Benoit Taveneaux. Il a décentralisé une partie de son musée dans les murs de la médiathèque Laxovienne.

"La lorraine était la premimère région productrice de bière duXXe siècle. Elle est maintenant la troisième", a rappelé Anne-Sophie Roy. Les convives ont ensuite été onvité à déguster la nouvelle bière de Saint-Nicolas. Pour être intarissable sur le sujet, un cycle de trois conférences aura lieu à la médiathèque : le 11 mars à 18h, "Les bières trappistes" par Philippe Voluer. Cet histoirien de formation, fondateur du musée de la bière à Stenay (55) est auteur de nombreux livres sur le sujet dont le dernier : "Le grand livre de la bière en Lorraine: 2000 ans de la tradition et de savoir-faire", qu'il dédicacera après la conférence. Le 18 mars à 18h, "Initiation à la dégustation de la bière", par Jean-François Drouin et Monique Rouiller. Le 24 mars à 18h, "Des artisans aux multinationales, l'évolution du marché de la bière" par Jacques Mignard.

22 - Maxéville - Une soirée rap très réussie

9hiphopInciter les jeunes à une démarche participative... On peut penser qu'en accompagnant le projet Festival de hip hop au Champ-le-Boeuf c'est que voulait la mairie. Ainsi, l'association les Têtes Brulées a vraiment eu champ libre pour organiser ce premier rendez-vous des cultures urbaines sur son quartier dans le cadre des "Aventures partagées". Une centaine de visiteurs sont venus à la salle du CILM. Le but ? Faire découvrir cet univers musical propre à la jeunesse, un des rares moyens pour ces jeunes de s'exprimer librement et artistiquement. "Et surtout leur mettre à disposition une salle et une scène. C'est souvent ce qui leur manque pour se faire connaître", soulignait Olivier Lebelle accompagné pour cette première éditon par Serge El Founi, adjoint au maire. Un pari pas très risqué car parmi les groupes figuraient des rappeurs, auteurs, compositeurs et interprètes déjà bien rodés même si pour certains, le bilan était plus mitigé car il leur manquait la touche de professionnalisme.

Une soirée entièrement préparée par les jeunes pour mettre en avant leur performance voire leur talent. L'ambiance à 21h était parfaite. Les démonstration de danse ont pris le relais un instant. Puis pour faire monter la température, les rappeurs apostrophaient le jeune public agglutiné devant la scène. Parmi eux, des artistes déjà bien confirmés comme Impérial Adidam, un groupe de jeunes rappeurs issus du quartier qui tournent depuis quelques années sur la région que les Nancéiens ont pu découvrir ces dernières années sur les scènes régionales, du Hublot à l'Austrasique, sur les ondes de radion Fadjet, ...

L'artiste de Mauvaise Gr'n également du CB ete bien d'autres: l'Etoile, Nicety J, Mc Didi H21, Dj Doo AW, Dj Fonkmaz, Béton armé, Kaly et Souf,... en somme du bon rap harmonisé grâce aux moyens techniques de l'ingénieur son professionnel Philippe Verriès ! Puis les déjà très pros de Street Harmony, nancéins maîtres dans l'art de la danse hip hop ont eu l'occasion de présenter leur talent artistique. Fort de cette expérience, la municipalité pourrait réediter l'opération et donner encore plus de relief.

23 - Maxéville -Le Zénith, enfin !

9zenithOn ne peut parler d'acte manqué. Le Zénith de Nancy a été néanmoins fermé une année durant pour rien. Les gros travaux prévus de transformation intérieure n'ont pas eu lieu pour des raisons de coût. A l'ouverture des enveloppes des entreprises répondant aux appels d'offres, la somme initialement prévue était littéralement explosée avec pour principale raison, la complexité des restaurations pour agrandir et rendre plus confortable l'accueil du public mais surtout le prix en perpétuelle hausse du métal, matière principale de la structure.

Hier matin, Michel Dufraisse adjoint de la communauté urbaine en charge des grands équipements s'est plutôt bien tiré de la mission de revenir sur ce contretemps et d'annoncer la reprise des activités. Les spectateurs retrouveront malgré tout quelques changements. Toute la partie centrale a été équipée de nouveaux sièges. Plus larges, en bois, ils constituent incontestablement un atout. Le sol a également été nettoyé et repeint.

Il ne s'agit là, explique l'élu, que de la première partie d'une série d'aménagement où figurent notamment une recherche sur des mises en couleurs intérieurs, un travail d'isolation, la restructuration du hall d'accueil pour le tranformer en endroit convivial dans lequel le public ne fera plus simplement que passer. Une chose est certaine, il faut tirer un trait sur la reconduite du projet initiale, "une autre fermeture serait synonyme de catastrophe", pour les producteurs locaux surtout, dont certains étaient présents parmi l'assistance, hier matin dans l'espace VIP rénové. Pour évoquer ce point du dossier, l'élu a utilisé une image choc, comparant le Zénith à un porte-avions, un bel outil mais dont les tranformations obligent à une longue immobilisation.

Michel Dufraisse a surtout fait une annonce capable d'atténuer cette année sans. Une réflexion est menée pour envisager la couverture de l'arène de plein air partiellement ou complètement, plus de 20.000 places. De quoi se positonner à l'échelle européenne. En attendant, elle accueillera le 28 juin Depeche Mode pour un de ses deux seuls concerts français. Excellent produit d'appel comme Johnny attendu le 27 septembre, Tryo le 11 novembre, André Rieu le 26 novembre. Quand à Gad Elmaleh, plus que jamais l'homme du moment, il affiche déjà complet pour sa préstation du 27 mai et reviendra donc le 9 novembre.

Tout recommence ce vendredi avec Valérie Lemercier. Si une journée spéciale fêtant la reprise des activités n'avait plus lieu d'être, mars marque une vraie reprise des activités avec pas moins six rendez-vous: Les Grands Airs et Ballets d'Opéra, Franck Dubosc, Celtic Legends, Ballets de Pologne Mazowsze, RFM Party, Wrestlingestreme le catch américain.

Grand patron de la société gestionnaire VEGA, Emmanuel de Lannurien avait fait spécialement le déplacement depuis Paris, histoire de rappeler que son équipe allait s'investir dans la relance du Zénith. Il ne reste plus qu'à connaître le nom du nouveau directeur de la salle, dont le choix a encore été reporté.

24 - Laxou -Polémique à Laxou

10polemiqueIls ne veulent pas crier au loup, mais s'en prennent plutôt à la brutalité du berger. Autrement dit, ils ne suggèrent pas que la fermeture de l'école Pasteur soit forcément une mauvaise décision, mais en critiquent âprement la méthode : "scandaleuse !". Ne serait-ce que pour avoir été, eux-mêmes, avertis de la nouvelle par voie de presse. "Et rien de plus désagréable d'apprendre par la bouche de ses propres concitoyens l'existence d'un projet aussi important", s'agace Pierre Baumann, conseiller général de Laxou. Depsuis, les élus du groupe socialiste (opposition) de Laxou ont lu la presse...Et se sont renseignés. Décision a en effet été prise de fermer le groupe scolaire Louis-Pasteur dès la rentrée prochaine, pour causes de baisses d'effectifs massifs sur le quartier, et d'en répartir les jeunes occupants dans les deux autres groupes à proximité : Emile-Zola et Victor-Hugo. "Une décision précipitée et sans concertation", condamne Christophe Gerardot, président du groupe PS. "Pour laquelle, de l'aveu même du maire, le vote du conseil municipal ne serait que formel. Nous n'avons pas même été conviés aux quatres réunions publiques organisées sur la question. Belle leçon de démocratie en vérité !"

Claudine Bardeau, également élue à Laxou, s'étonne notamment d'avoir vu se réunir deux fois la comission chargée de débattre du dossier, "où on avait bien perçu la volonté du groupe majoritaire. Mais il n'y a jamais été question de trancher aussi vite sur un sujet aussi délicat !" Sur le fon du débat, les élus affirment ne cultiver aucun tabou. "On sait bien qu'il n'y a rien de facile à gérer ce genre de dossier", concède Pierre Baumann. "On n'est pas dans une démarche démagogique."<< Mais il n'y avait pas lieu de précipiter les choses>>, poursuivent-ils en choeur. "Ca aurait pu se faire progressivement.Il s'agit toute de même d'abord de se battre pour offrir une vraie qualité d'éducation à nos enfants. Et que les choses soient faites de façon républicaine, sans imposer de choc émotionnel. Vous imaginez l'impact d'une pareille nouvelle sur les familles et sur le quartier entier !"

Sans compter que les opposants perçoivent mal la logique du projet, qui se charge de "détricoter ce qui a été fait il y a 4 ans. A cette époque, on a mis 900.000 € dans l'école Pasteur. Là, on propose de mettre 153.000 € dans l'école Victor-Hugo pour adapter les locaux aux nouveaux arrivants... Et on nous donne des leçons sur l'optimisation de l'argent public !" Enfin, last but not least, le groupe d'opposition note que, contrairement aux espoirs du maire, cette opération n'aura pas évité les fermetures de classe. "On nous annonce déjà la suppression de la CLAD, pour les élèves en difficulté, et l'inspectrice d'académie n'a pas caché qu'une classe de maternelle sera également fermée. Conclusion : la fermeture de l'école consiste surtout à accompagner les mesures gouvernementales, avec la même brutalité !" Et l'opposition a manifestement l'impression de n'avoir même pas vu le coup venir.

Avec 188 élèves perdus en dix ans sur les trois groupes scolaires, Laurent Garcia estime inéluctable la fermeture.

"Inéluctable !"10polemique1

Le mot est bien en bouche, la définition en a été scrupuleusement vérifiée et Laurent Garcia en donne même les synonymes dont "inévitable", voir "nécessaire". Depuis que Valérie Ephritikhine, conseillère d'opposition, a lâché l'adjectif en plein conseil municipal alors qu'était débattue la question de la fermeture de l'école Pasteur, le maire y revient à l'envi. "Si l'opposition reconnaît que la fermeture est inexorable, au moins sur ce point là, l'opposition est de bonne foi..." Ce dont évidemment il se garde bien de tirer une généralité. Au contraire... Avec le renfort de Nathalie Parent-Heckler, adjointe aux affaires scolaires, l'édile étiqueté Modem répond point par point aux critiques émises par les socialiste. "Décision précipitée ? Mais il y a urgence ! En dix ans, on a perdu 188 élèves sur les trois groupes scolaires, Zola-Pasteur-Hugo. Si on ne fait rien maintenant dans deux ans, c'est Hugo qui ferme. Ca fait déjà plusieurs rentrées qu'on peine à maintenir ne serait-ce qu'une deuxième classe de maternelle ! Alors, bien sûr, on peut dire qu'il faudrait réfléchir encore 3-4 ans, mais il y a le feu maintenant !"

Concernant les fermetures de classes, le maire renvoie son opposition auprès des services de l'inspection académie. Quand à l'absence, c'est l'adjointe qui en réfute l'accusation. En considérant que le travail en commision avait été suffisament éloquent sur le sujet. " Le 22 janvier, on rendait un avis allant dans le sens de la fermeture d'un groupe scolaire, ce n'était donc pas une surprise", rapelle Mme Parent-Heckler. "Mme Bardeau était présente, elle ne pouvait pas l'ignorer. Après, effectivement, nos services ont étudié les différentes capacités d'accueil, et c'est là qu'on en a conclu que Pasteur n'était pas à même d'accueillir les enfants redispatchés si c'était l'un des deux autres établissements qui fermait." Elle était donc désignée.

Les élus laxoviens disent en outre s'étonner du manque de dialogue qu'on semble leur reprocher, arguant au contraire que diverses réunions et entrevues avec les parents et les enseignant avaient été organisées. "Où les réactions ont été naturelles, et même souvent constructives". Avec cette petite nuance ques lesdites réunions n'étaient pas publiques. "Voilà pourquoi il n'y a pas eu d'invitation tous azimuts? On voulait que chacun s'exprime sereinement. Dans ce type de dossier, il y a des réactions épidermiques, or on voulait éviter de liguer les gens contre les autres."

Eviter par exemple que les parents de Victor-Hugo s'entendent dire par d'autres que leur établissement avait mauvaise réputation..."Et je suis très déçu que l'opposition se serve de ça comme élément politicien pour monter les uns contre les autres. Qu'il y ait de la résistance du côté de la population, c'est archi-compréhensible. Mais qu'on fasse une polémique politicienne, c'est indigne de l'intérêt général !" A croire qu'entre deux camps, les divergences, elles aussi, se révèlent parfois...inéluctables

25 - Champ-le-Boeuf - La peinture rencontre le numérique

10peintureL'exposition présentée au Centre intercommunal Laxou-Maxéville et orgasnisée par le Cercle des Arts réunilt deux artistes mais aussi deux styles différents. D'un côté, Any Henrard affiche des sujets électriques, paysages, portraits ou animaux peints principalement à l'huile, des tableaux très colorés. "J'ai découvert l'association du cercle des arts et Pierre Dufour lors d'une présentation de l'activité il y a 3 ans. Je n'avais jamais vraiment dessiné avant et, après avoir commencé les cours, je passais tout mon temps à peindre" raconte Any. "Pierre Dufour est toujours là pour me corriger, il a l'oeil du maître" ajoute-t-elle amicalement.

Son inspirsation, elle la trouve dans un calme complet et l'artiste s'exprime d'autant plus sur des grandes toiles, les petites étant réalisées avec plus de détails et de minutie et aime à citer une phrase de Molière :"L'artiste ne crée pas pour vivre, il vit pour créer." 10peintureShokujin se joint à Any pour cette exposition. Il présente, quand à lui, des oeuvres d'un tout nouveau genre puisqu'elles sont réalisées uniquement par ordinateur et, plus précisément, avec le logiciel Photoshop. Issu de 3 ans à l'école des Beaux-Arts de Nancy, shokujin est infographiste en freelance. Il expose une série de créations sur le thème de la femme, des pin-up sexy, façon Marilyn Monroe ou personnage de mangas, aux couleurs chatoyantes, monochromes pour certaines.

Les artistes étaient présents à l'occasion du vernissage, avec le mair, Laurent Garcia, son adjointe à la culture, Anne-Sophie Roy, et Edwidge Franzetti, adjointe à la mairie de Maxéville. "Je viens régulièrement sur ce site pour voir les expositions. C'est bien, cela encourage les artistes" confie Jacqueline, amateur d'art "Pour moi, c'est nouveau et c'est plaisant" ajoute-t-elle face aux créations de Shokujin.

26 - Maxéville - La tour maxévilloise

10tourNon, il ne s'agit pas d'un nouvel édifice en construction à Maxéville, mais bien d'une nouvelle association dédiée à la promotion des échecs. Elle exsite depuis le 18 février. Son créateur et président M.Gobe, est un passionné qui a acquis un très bon niveau et qui a été longtemps membre du club d'échecs de Nancy. Comme il n'existait pas de club à Maxéville, il a décidé d'en créer un, pour échanger avec d'autres amateurs, promouvoir le jeu et pouvoir partager sa passion de la stratégie en faisant progresser d'autres joueurs.

C'est en famille, puisque la secrétaire de l'association n'est autre que Mme Gobe, sa femme, qui anime aussi, chaque mercredi après-midi de 14h30 à 17h30, des ateliers pour les enfants, pour leur apprendre les bases du jeu. Ces ateliers se déroulent dans le quartier Meurthe-Canal, à l'annexe des Cadières. Il est ouvert à tous, sous condition de régler la cotisation trimestrielle de 3 € pour les enfants, soit 12 € au total à l'année.10tour

Mme Gobe précise :"Comme ce sont les enfants, on ne sait pas s'ils voudront continuer, c'est pour cela que l'on fait payer aus trimestre, s'ils veulent arrêter en cours de route, ce n'est pas un souci. Oubien arrêter pendant un trimestre et reprendre celui d'après. Tout est possible, il n'y a pas d'obligation."

Parmi les enfants présents mercredi, Titouan, 8 ans et demi, Kenan, 11 ans qui vient avec sa mamie Claudette depuis le 18 février, Odin, 3 ans et demi, et Arthur, 5 ans et demi.Tous les âges et tous les niveaux sont les bienvenus. Pour ce sui est des adultes, la cotisation annuelle est de 20 € et M;Gobe organise des rencontres conviviales les samedis soirs à l'Espace E.P.Jacobs, de 20h30 à 22h30, ouverts aussi à tous les niveaux, débutants comme confirmés. Les personnes intéressées peuvent contacter M.Gobe, tél.06.78.08.57.00 ou 06.37.17.12.57.

27 - Laxou - Voyage sur un drakkar

10voyageL'ambiance était celto-scandinave à l'occasion de la soirée "Cultures du monde" organisée par la ville à l'Espace Europe dans le quartier des Provinces. Le groupe Boann était venu animer cet évènement avec des instruments pour le moins originaux. Avant le concert, les quatres musiciens ont présenté et conté l'histoire du bodhran irlandais, tambour uni-membranophone, du crwth gallois, lyre à archet, de la nyckelharpa, instrument à cordes frottées d'origine suédoise ou encore de la harpe celtique associée à la magie et à Merlin. Le groupe a également raconté l'origine du nom "Boann", déesse des eaux qui a eu trois fils et dont le mari a joué une mélodie différente à chaque enfantement, donnant ainsi les trois modes de la harpe.

"Le côté pédagogique est intéressant.10voyage C'est original de commencer un concert de cette façon" confie Roger qui s'est, par ailleurs, essayé à la danse au cours de la soirée avec d'autres spectateurs. Des musiques tantôt douces, tantôt rythmées, les airs celto-scandinaves ont embarqué le public sur un drakkar vers un monde enchanteresque. Groupe de la région parisienne, Boann s'est formé il y a 4 ans, des rencontres musicales liées à leur passion commune. "Nous connaissons un peu la région car le luthier d'Eléonore est Jean-Claude Condi, de Mirecourt", explique Gaedic. "A l'origine je voulais faire de la musique scandinave et céline a apporté le côté celtique au groupe" ajoute Jean-Luc.

28 - Champs-le-Boeuf - Joyeuse bande à l'école maternelle

11fanfare11fanfareLes élèves et les enseignants ont disparu ! Remplacés par une joyeuse troupe composée d'indiens, de princesses et même de pirates ! Tous s'étaient donné rendez vous pour dire au revoir à l'hiver et accueillir la saison nouvelle ! La météo ne les a pas empêchés de défiler dans toute l'école et même à l'école élémentaire puis d'aller rendre visite aux habitants de la résidence d'Automne en face pour leur apporter un peu d'animation et de bons beignets. Le tout accompagné d'une fanfare. Les seniors de la résidence d'Automne ont dit merci à tous pour cette fête réussie et pleine de joie.

 

29 - Laxou - Anciens mutilés combattants en assemblée générale

I11ancienls étaient une petite cinquantaine réunis salle Monta pour assister à l'assemblée générale de l'AMC, dont le maire Laurent Garcia, et le conseiller général, Pierre Baumann. Avant de présenter son rapport moral, le président Jean Watiez a présenté les excuses de Michel Rolla, nouveau président départemental qui succède à Claude Sigrist, démissionnaire pour raison de santé. Il a demandé une minute de recueillement à la mémoire d'Antoine Ancel, décédé en janvier 2008 à l'âge de 100 ans.

Il a rappelé que l'association participe aux cérémonies patriotiques de 8 mai et 11 novembre avec la présence de Robert Congré, le porte-drapeau ainsi qu'aux obsèques d'adhérents des différents associations patriotiques laxoviennes. Il a souligné la baisse continue du nombre d'adhérents, il ne reste plus que 25 anciens mutilés combattants, plus leurs conjoints et tentre-quatre sympathisants, ce qui fait cinquante-neuf adhérents au total. Le président a fait remarquer que c'est grâce aux cotisations des ympathisants que la section de Laxou peut encore être active, car ce n'est pas avec vingt-cinq cotisations à 5 €11anciens qu'il est possible de faire quelque chose, à savoir : le goûter galette gratuit pour quarante-neuf participants en janvier, l'assemblée générale et repas pour quarante-huit convives en février, la sortie d'été à Vaudémont et Sion avec trente-quatre personnes en juin et la sortie d'automne avec visite de la caserne des pompiers de Gentilly et repas au Trianon en octobre.

Les sorties patriotiques des 8 mai et 11 novembre ont été suivies d'un banquet pour trente-neuf et vingt-six participants. A la tribune, Gilbert Antoine et André Thomas ont présenté Marc Boré, nommé chargé de mission de la base aérienne 133 pour Laxou. Le bureau sortant a été réélu : président, Jean Watiez; vice-président, Julien Grosse et Robert Congré; secrétaire-trésorière, Andrée Wernert; secrétaire et trésorier adjoint, Julien Grosse; membres, Odette Barthelemy, Jean-Marie Huot, Michel Bertin et Claudine Mathis.

30- Maxéville - Des abris de jardin grâce à des jeunes

Dans le cadre d'une convention passée avec la municipalité, l'association Max'Jardins entretient et anime les jardins familiaux. La plupart de ces jardins sont situés au bout de la rue de la justice. Intéressée par un projet de construction d'abris de jardin, l'association Jeunes et cité de Champ-le-Boeuf s'est rapprochée de Michel Hislen, le président de l'association des jardinilers de Maxéville. L'association Jeunes et cité, spécialisée dans la prévention, l'accompagnement éducatif et le soutien aux jeunes chômeurs a pu ainsi proposer un chantier de remobilisation d'une semaine à quatre jeunes du quartier Champ-le-Boeuf actuellement en difficulté d'insertion.

11abris"Un chantier inédit mais intéressant pour les jeunes et conforme à l'esprit de nos actions. Il s'agit,comme pour la plupart de nos chantiers, de travaux d'utilité collective car, ici, ils vont équiper des jardins qui serviront aux Maxévillois. Ce chantier est très enrichissant à mon sens. Certains mettent pour la première fois les pieds dans un jardin; ils doivent se mettre au travail et respecter des règles et des horaires. La rencontre intergénérationnelle est importante aussi", soulignait Olivier, l'animateur Jeunes et cité.

En contrepartie de ce labeur, les jeunes (Jean-Michel, Angela, Souah et Maxime) ont gagné un peu d'argent (30 heures rémunérées au SMIC). Le premier jour, les jardiniers (Michel, Jean-Paul, Emile, Philippe et Alain le pépiniériste) ont noué des liens avec les jeunes, constatant à leur grande satisfaction, qu'ils mettaient du coeur à l'ouvrage. Des jeunes volontaires qui devaient réceptionner les matériaux et construire, pendant la semaine, treize abris de jardin livrés en kit. Michel Hislen précise que toutes les pièces achetées étaient fabriquées par des entreprises d'insertion (Grand-Sauvoy,SNI Dieulouard...). Et de remercier la municipalité et les services techniques pour leur appui.

En résumé, un chantier gagnant-gagnant d'autant que Jeunes et Cité (et Imagine) aimerait participer à un projet champ de fraises et de vignes avec l'équipe de Max'Jardins. La découverte du jardinage, le retour à la nature...sont, pour Jeunes et Cités, des actions très utiles pour les jeunes. L'association Max'Jardins anime une conférence sur le jardinage, le samedi21 mars, à 14h, à la salle de la Justice. Distribution de graines en prime. Concernant les jardins familiaux, elle informe aussi les Maxévillois qu'il reste trois parcelles, les dix autres étant déjà attribués.

31- Laxou - Tennis : les stages de vacances

12tennisLe club de tennis de Laxou Sapinière organisait un stage de tennis pour enfants durant les vacances de février. L'occasion pour les jeunes de l'école de tennis et de l'extérieur de progresser dans la bonne humeur. Encadré par Aurore Désert, responsable de l'école de tennis et Antoine Blenner, éducateur au sein de club, une douzaine d'enfants ont pu perfectionner leurs coup droit et revers, ainsi que montrer leur qualités physiques sous différents jeux collectifs et relais. Cette opération sera renouvelée durant les vacances de Pâques,où des stages adultes tous niveaux seront également mis en place.

A noter que le club organise du 14 au 29 mars son tournoi open masculin, les meilleurs joueurs de la région vont en découdre sur les courts couverts rue des forestiers à Laxou, des matchs à ne pas manquer. Les spectateurs sont attendus en grand nombre. Pour tous renseignements Aurore Désert 06.68.814.04.91

32- Laxou - Coupe de printemps pour les arbres

12coupeComme chaque année, l'hiver est la période propice aux travaux d'élégage des arbres. Taille d'entretien pour la puplart des arbres et parfois des tailles plus sévères dans les lieux publics, écoles et crèches. Certains arbres, âgés et en phase de dépérissement doivent être abattus. Au parc d'agrément du Champ-le-Boeuf, quelques saules et frênes morts ou potentiellement dangereux (6 au total). Square Sainte-Anne: un bouleau chétif dont la cime a dépéri sera abattu et remplacé par une variété de pommier à fleurs rose clair et au feuillage vert cuivré.

Parc de l'Hôtel de Ville: 4 vieux mirabelliers et 1 cerisier dont l'état sanitaire était préoccupant ont dû être abattus. Ils seront remplacés par des variétés fruitières locales (le verger pédagogique dont ils faisaient partie comprend déjà une vingtaine de fruitiers divers et quelques arbustes à fruits rouges tels groseilliers, framboisiers, cassissiers). De plus le maire Laurent Garcia et son adjoint à l'nvironnement, Gilbert Antoine, ont rappelé "l'attention particuilière de la ville envers ce lieu, racheté en début de ce mandat 12coupepour éviter une construction moderne et un choc arcitectural dans ce lieu, et où l'extension du parc de la mairie représentera un des évènements majeur des années à venir". Une très bonne variété de mirabelles provenant de Laxou que Gérard Jacquot a greffé il y a 2 ans sera plantée dans ce verger ce printemps.

Enfin, un thuya plicata de 15 m dont la cime se déssèche depuis quelques années doit être abattu également à l'entrée du parc de la mairie face à la crèche. 25 arbres seront plantés cette année en complément et remplacement des végétaux existants dans les différents lieux publics de la ville.

 

33- Maxéville - Les seniors s'étirent en douceur

12seniorsLa ville propose des ateliers de gym douce. Une activité à la portée de tous à suivre à son rythme. La première séance s'est déroulée sur le quartier des Aulnes. Avant de démarrer, Fred Parisse l'éducateur diplômé de la ville, a proposé aux seniors une série de petits test pour évaluer les possibilités de chacn. Le programme des séances portera sur des exercices spécifiques d'équilibre, renforcemement musculaire, relaxation et souplesse.

"Suivant vos capacités, je m'adapterai à votre rythme et je vous proposerai des exercices personnalisés", a-t-il indiqué aux participants. Les séances se déroulent à la salle Henri-Kropacz. Pour les personnes âgées du centre ville, les séances démarrent vendredi 13 mars au gymnase Marie-Marvingt, de 11h à 12h. Détente et bonne humeur de rigueur, le bien être suivra tout naturellement.

34- Champ-le-Boeuf - La visite au sénateur à Paris

12visiteDébut février les élèves de 3eA du colllège La Fontaine qui ont choisi l'option DP3, dirigée par leurs profs Mmes Butlingaire et Senouci, ont la chance de se rendre à Paris en TGV pour une journée riche de découvertes. Au programme, une visite du Sénat, guidée par Carole Begel, attachée parlementaire de Monsieur Daniel Reiner, sénateur de Meurthe-et-Moselle. Elle a répndu aux questions des élèves, qui ont découvert ce haut lieu de l'Etat dans toute sa grandeur (il y a plusieurs services dédiés spécialement aux sénateurs, dont un bureau de poste), et tout son faste. Ils ont pu assister à une séance publique sur le Grenelle de l'Environnement, et ont emprunté le somptueux escalier d'honneur. Pendant un cours d'éducation à la citoyenneté, les élèves avaient préparé cette visite, en allant dur le site Internet du Sénat, celui de Monsieur Reiner, et ils avaient un questionnaire.

L'après-midi était consacré au Palais de la Découverte où les élèves ont assisté et participé à deux ateliers sur l'air liquide et sur l'électricité, puis ils sont rentrés à Nancy. Mais l'aventure ne s'arrête pas là, puisque le Sénateur Daniel Reiner leur a donné rendez-vous au collège pour corriger avec eux le fameux questionnaire. Il est revenu sur certains points de fonctionnement, comme l'élection des sénateurs, l'âge minimun pour pouvoir être élus, et a décrit les personnels du sénat, comme les huissiers, qui assurent la police dans l'hémicycle, et qui sont en uniforme, ou les secretaires, qui écrivent un rapport pendant le déroulement de chaque séance. Il a rappelé que le Sénat était un lieu de l'apparence, du consensus, avec ses tapis rouges, ses dorures, son ambiance très feutrée et très courtoise, malgré le débat politique permanent qui y règne. Mais "les débats y sont de qualité, les sénateurs sont de vrais techniciens qui connaissent bien les dossiers qu'ils présentent".

35- Maxéville - Soutien aux scientifiques kosovars

13soutienLundi matin, une cérémonie était organisé au laboratoire IPL, en présence de Mireille Gazin, première adjointe, pour accueillir une délégation de huit scientifiques kosovars, qui ont pu bénéficier d'un voyage d'étude d'une semaine pour se former aux techniques de surveillance environnementale. C'est Arnaud Darrou, responsable qualité IPL, qui les a accueillis au sein du laboratoire, dans une salle décorée du drapeau kosovar, en signe de bienvenue. Il a, dans son discours, remercié sa direction, dont M.Stadelmann, directueur d'IPL, ses collègues techniciens qui seront chargés d'accompagner et de former les stagiaires, et a présenté François Baudry, le chef de projet de ce travail à Pristina depuis environ un an, contractuel de l'agence de l'eau et détaché le temps du projet. M. Baudry a également beaucoup aidé à l'organisation et à la mise en place de ce voyage d'étude.

M. Stadelmann a, quant à lui, rappelé "l'esprit de la fondation IPL, un réseau de laboratoires dont le propriétaire est la fondation Institut Pasteur de Lille, et dont la vocastion est d'apporter des solutions au service de la santé et de l'environnement de l'homme, tout en transmettant la connaissance et le savoir, qui est une véritable culture d'entreprise." Mireille Gazin a également pris la parole, manifestant le soutien et les encouragements de la mairie à ce type de projet. Elle a rappelé "la vie accidentée des locaux d'IPL qui était une usine vide avant que la municipalité ne contribue à lui rendre son plein usage et su'IPL trouve le plein épanouissement de son action".

Agron Shala, le chef de laboratoire kosovar bénéficiaire du voyage d'étude, a remercié à son tour les reponsables de ce projet. Arnaud Darrou a ensuite détaillé le programme de la semaine. Les stagiaires seront divisés en deux groupes. Concrètement, ils vont parfaire leurs techniques de prélèvement et d'analyse de l'eau et de l'air, et formeront deux groupes de travail, dont l'un dirigé par des techniciens du laboratoire concernant les analyses des prélèvements et l'utilisation des données. Car François Baudry précise : "Si les prélèvements ne sont pas effectués lors des prélèvements, les réultats peuvent être faussés et ne sont pas représentatifs. De plus, oobtenir des informations et des données précises permet de rationaliser les investissements à effectuer pour l'amélioration de l'environnement." Les techniciens vont également aider leurs collègues kosovars dans la mise en place et la gestion d'une base de données informatique simple pour améliorer le traitement de leurs données, qui se fait actuellement sur fiches.

36- Champ-le-Boeuf- Tarot et belote

13tarotLes deux gagnants du tournoi mensuel de tarot et de belote, organisé par les Haut-Marnais de Meurthe-et-Moselle n'ont laissé aucune chance à ces dames, puisqu'il s'agit de deux hommes, Gérard Ruppert pour le tarot, avec 1.273 points, et Claude Vizot à la belote, avec pas moins de 4.751 points. Deux champions, habitués du tapis vert du samedi après-midi. Comme Jean Garnier, qui vient jouer depuis le début, et qui connaît les plus anciens du quartier. Depuis une petite trentaine d'années, comme Monsieur et Madame Hislen, les organisateurs des jeux. Il lui est arrivé de gagner une ou deux fois, mais il se dit lui-même "éternel 4e ou 5e".

Cela ne l'empêche pas de revenir et de s'amuser en bonne compagnie. Samedi, trois tables de tarot et quatre tables de belote étaient composées, soit 28 joueurs. "C'est un peu moins que d'habitude, mais c'est une bonne participation quand même. On dirait qu'il manque les joueurs de Laxou" précisait Mme Hislen. Peut-être la faute au tournoi de Scrabble, qui avait lieu le même jour au CILM. Et, comme d'habitude, il n'y a pas eu de perdant, chaque participant est reparti avec un lot. Celui des vainqueurs étant bien sûr un panier un peu plus garni que les autres.

37- Laxou - Sans tabou

13polype En France, le cancer colorectal touche près de 37.000 personnes chaque ennée, est responsable de près de 17 000 décès. Pourtant, diagnostiqué au stade 1, neuf patients sur dix en guérissent. D'où l'intérêt d'un despistage précoce. Ce qui commence par une bonne information, sans tabou. ADECA 54, structure de gestion des dépistages de cancer en Meurthe-et-Moselle, mandatée par l'Etat et l'assurance maladie, s'y emploie dans le département. Via diverses animations durant le mois de mars, désormais mois de mobilisation nationale (voire internationale, USA et canada ont choisi le même) contre le cancer colorectal. Avec le bus-expo de l'INCa (institut natjional du cancer), l'association avait choisi hier après-midi de s'arrêter sur le parking de la Sapinière à Laxou pour une grande action de sensibilisation. Face émergée de l'iceberg. Puisque par ailleurs, l'ADECA 54 adresse depuis 2008, des courriers à tous les Meurthe-et-Mosellans âgés de 50 à 74 ans, les incitant à se faire dépister. Un geste simple. Pris en charge par l'assurance-maladie. Qui peut sauver la vie, tout simplement.

38- Laxou - Des récompenses aux petits athlètes

13recompenseLes jeunes athlètes qui ont participé aux cinq compétitions du challenge du Distict Sud 2008/2009, ont tous reçu leur récompense au gymnase Europe, dans le quartier des Provinces. Les enfants en catégorie Eveil Athlétique, nés entre 200 et 2002, et les poussins, nés en 1999 et 1998, se sont affrontés, avec un grand fair-play, lors de trois compétitions en salle à Laxou, en novembre, janvier et mars et deux compétitions de cross à Lunéville et Vandoeuvre, en décembre et en janvier. Près de 170 jeunes issus de sept clubs ont participé à l'événement : l'Amicale laïque de neuves-Maisons (ALNM), l'ASPTT Nancy (ASPTTN), l'ASPTT Vandoeuvre Athlétisme (AVA), le cercle Omnisport de Villers-lès-Nancy (COSV), Laxou Athlétisme (LA), Lunéville Athlétique CLub (LAC) et Saint-Max/Essey CLub Athlétique (SMECA).

Parmi les épreuves en salle, les athlètes ont obtenu des points sur le 50 m plat ou haies, le lancer de poids, le quadrubond, le 400 m ou 500 m. "La salle de Laxou est bien adaptée. C'est une vraie piste d'athlétisme. Il n'y a pas d'autres salles avec ce revêtement dans le secteur" explique Pascal Leclerc, le responsable du club. Coupes et médailles ont été remises par le maire Laurent Garcia, son adjointe aux sports, Guilaine Girard et Dominique Delophont de l'AVA. Benjamins et minimes seront récompensés, demain, samedi, au gymnase Europe.

39- Maxéville - Impression durable à Maxéville

13impressionA l'instar de 47 autres sociétés françaises, réunies sous la bannière d'ImpriFrance, l'entreprise d'imprimerie Colin Frères installée à Maxéville s'engage en faveur de la reconstruction de la forêt landaise. "ImpriFrance a déjà versé 20.000 euros. Nous escomptons réunir la même somme d'ici la fin du mois d'avril", indique Gilles Colin, directeur commercial. Cette opération en partenariat avec l'ONF, est destinée plus particulièrement à reboiser la forêt communale de Mugron dans les Landes, dévastée par l'impétueux Klaus en janvier dernier.

"Nous proposons à nos clients, industriels, institutionnels, agences de communication, de verser deux euros à chacune de leur commande en faveur de cette cause". Colin Frères s'engage pour sa part à abonder de deux euros supplmémentaires. La modicité de la somme et l'enjeu de la démarche ont séduit. "Les retours sont bons et nous pensons tenir le pari". Mais, derrière cette opération, se profile aussi la volonté affirmée de battre en brèche une réputation peu flatteuse. Considérés comme des dévoreurs de forêts, les professionnels de l'imprimerie, ou tout du moins une partie d'entre eux (certes encore trop minime), ont réagis.

13impression2"Le papier que nous utilisons est issu, lorsqu'il ne provient pas de déchets de meubles par exemple, de forêts gérées durablement et non exploitées par des enfants". Une conscience écologique que confirment les deux certifications, garantissant la traçabilité de la filière papier, obtenues par la société maxévilloise (elle fut d'ailleurs la première en Lorraine): d'une part le label européen PEFC attribué par Véritas et son pendant américain FSC garanti par trois ONG. Et pour pousser plus loin encore la démarche, l'imprimeur maxévillois est décidé à utiliser un produit, découvert à la faveur d'un salon en janvier dernier. "Il s'agit d'un film plastique biodégradable en trois ans seulement au lieu de trois siècles !"

Cette emballage d'un nouveau genre, mis au point par le groupe Bolloré, est encore à l'essai sur une gamme restreinte de produits. Il devrait être généralisé, malgré un coût nettement supérieur, l'année prochaine, à toute la production de la société.

 

40- Maxéville - Des runs sous la pluie

14runsDes carosseries rutilantes et des moteurs vrombissants, tels étaient les bons ingrédients de la 29e Course d'accélération organisée au Zénith par l'ASA54 et Max'Meeting. Rien que pour le tuning, le président Gilbert Claude a distribué pas moins de quarante coupes pour récompenser les meilleurs des différentes catégories. Tous des spécialistes du tuning venus faire le show : 5 top sono, 10 top esthétique, 3 top cabriolet, concours d'échappement et concours des néons en nocturne.

Avec une centaine de participants, parmi lesquels des Luxembourgeois et des allemands, le jury était satisfait. Seul petit bémol, la pluie qui s'est invitée le dimanche et qui contrariait les organisateurs des runs, déçus par le manque de public. Du coup, le président Gilbert Claude a raisonnablement et d'ores et déjà annoncé que la prochaine manifestation début octobre se déroulerait sur une seule journée, histoire d'équilibrer les comptes. Pour autant, la pluie n'a pas empêché les amateurs de vitesse de s'en donner à coeur joie. Une ligne droite de 201,16m (soit 1/8e de miles) à parcourir pied au plancher !14runs2

Une cinquantaine de pilotes ont participé aux tests le samedi et ils étaient trente-sept en lice sur les épreuves du dimanche. Les Langlade, père et fils, ont animé les débats. Le matin, lors des essais, le fils prenait de vitesse le père. Finalement Jean-Louis Langlade, pilote de rallye chevronné, inversait la tendance l'après-midi en prenant le meilleur sur son fils Loïc, grâce à un meilleur départ. Un beau succès pour Jean-Louis dont c'était un peu le retour suite à l'accident qui l'a obligé au repos forcé. L'averse redoublait malheureusement au moment des récompenses mais les fans d'automobile étaient bien là.

41- Champ-le-boeuf - Du sang neuf

14sangDeux nouvelles recrues étaient présentes à la collecte de sang organisée vendredi et samedi dernier sur le parking du centre commercial La cascade par l'association des donneurs de sang de Laxou et Maxéville. Il s'agit d'Astrid, qui donne son sang depuis longtemps et qui aidait déjà à l'organisation des collectes. Elle va prendre un peu plus de responsabilités au sein du bureau, de même que Dolorès, qui est "stagiaire trésorière", pour voir d'un peu plus près de quoi il retourne, avant de s'impliquer davantage au sein de l'association. Un peu de sang neuf et de jeunesse qui sont toujours les bienvenus. Parmi les bénévoles pour donner un coup de main pour cette collecte, Marcel, Gilberte, ou encore Jean-Marie.

Ils sont là pour offrir la petite collation après le don, un café, un croissant, ou un sandwich. Parmi les donneurs, Stéphanie et Thierry, qui ont commencé à donner en août dernier, au hasard d'une collecte organisée comme celle-ci. "Cela a été l'occasion à côté du camion, et on s'est dit qu'on pourrait donner. C'est comme ça que l'on a commencé." D'où l'importance de ces petites collectes organisées deci-delà par les bénévoles, et qui vont à la rencontre des gens d'un quartier ou d'une entreprise. C'est encore le meilleur moyen de fidéliser les donneurs, d'autant plus que, maintenant, après un premier don, ils sont directement contactés par courrier ou par téléphone, pour les avertir des futures collectes mises en place.

42- Maxéville- Essor et déclin des brasseries

14essor(1) La tour Betting à gauche, les bâtiments industriels des brasseries de Maxéville au fond et la brasserie Martinot à droite au croisement de la rue de Metz et de la rue du Général-Leclerc vers 1907.

(2) Le même emplacement en 1990. La tour Betting et les bâtments industriels ont été remplacés respectivement par les bureaux et entrepôts frigorifiques de la Brem. La brasserie Martinot est remplacée par le restaurant "Chez Tempo".

"Sur un coteau, non loin des portes de la capitale de la Lorraine, se dressent, imposantes, les Grandes Brasseries réunies de Maxéville. Leurs cheminées, leurs tourailles puissantes, nimbées d'une blanche fumée, révèlent aux visiteurs une activité peu commune et toute cette masse domine la paisible ville de Maxéville, couvrant une superficie totale de 107.543 mètres carrés". Voici comment un document introduit, avec une certaine poésie, les Grandes Brasseries Réunies de Maxéville. On trouve des traces de Brasseries à Maxéville dès 1846. Mais à proprement parler, l'histoire des Brasseries se résume à deux unités distinctes: la Grande Brasserie de l'Est (aujourd'hui site des caves de la Crafte, rue des Brasseries, Auto 54) et la Brasserie Betting frères (aujourd'hui le supermarché Lidl, route de Metz et l'IUFM de Lorraine). Cette dernière a été fondée en 1854 par Christophe Betting. L'exploitation a pris une rapide extension.

14essor2En 1882, la première usine a été installée d'après les procédés les plus modernes. Une deuxième installation, construite de l'autre côté de la voie ferrée, lui a été annexée en 1895. Les deux parties communiquaient par deux passages souterrains. EN 1898, les deux brasseries ont fusionné d'un commun accord afin de grouper et centraliser leurs efforts. Cette fusion, tant cpmmerciale que technique, a donné naissance aux Grande Brasseries réunies de Maxéville. La tour Betting abritait le siège des Grandes Brasseries réunies de Maxéville. Elle était célèbre pour son architecture 19e et a été démolie dans les années 70 pour être remplacée par un bâtiment moderne, abritant les bureaux de la BREM (Brasseries Réunies et entrepôts de Maxéville).

Ce bâtiment, entièrement démontable, avait été conçu par les usines Prouvé, implantées à Maxéville. A l'arrière, les bâtiments industriels des Braseries de Maxéville, ont été trandformés après la Seconde Guerre momndiale en entrepôts frigorifiques. Depuis 2005, les bâtiments de la BREM ont été entièrement démolis pour faire place au supermarché Lidl.

42- Laxou- Le succès des bourses aux vêtements

14bourseLes bénévoles de la Confédération syndicale des familles sont satisfaits. La bourse aux vêtements d'enfants, organisée salle Colin, a encore remporté le succès. Dès l'ouverture, la foule s'est pressée autour des différents stands pour cjhoisir le vêtment qui plaira à leur enfant. Les bénévoles sont toujours sollicités pour réondre à la demande des mamans. "Le choix du mercredi est très judicieux" précisent des mamans, "cela nous permet de venir avec nos enfants pour essayer les vêtements".

Cet évènement est attendu dans le quartier. Les effets sont proposés à la vente à des prix désrisoires et sont en très bon état. Certains n'ont même jamais été portés. Le service rendu par les bénévoles de la Confédération Syndicale des Familles, aux habitants des Provinces et des alentours est très apprécié, et l'affluence auprès de chaque stand prouve l'utilité de cette bourse. Cela motive les bénévoles. En raison des disponibilités de la salle, le prochain rendez-vous pour la bourse aux vêtments adultes est avancé de quelques semaines.